Nos coups de coeur

La coutellerie Claude Dozorme est connue et reconnue pour ses couteaux pliants, ses couteaux de table, ses couteaux de cuisine et ses couteaux de chasse, mais pas que ! Elle imagine et conçoit au cœur de ses ateliers thiernois d’autres objets du quotidien tout aussi tranchants et coupants. C’est le cas du Coupe-Tout, accessoire polyvalent indispensable de tout.e bon.ne cuisinier.e !

Allié indispensable du quotidien, le Coupe-Tout, comme son nom l’indique a été conçu, pour trancher n’importe quel aliment, de la tomate au pain en passant par le saucisson ou le fromage. Il est également bien utile pour fendre les châtaignes avant de les faire griller. Couper, trancher, émincer relève désormais du jeu d’enfant !

Un tranchant rasoir pour tout couper

À l’instar des couteaux de cuisine de la marque Claude Dozorme, la lame du Coupe-Tout est faite en acier inoxydable. Elle possède un tranchant rasoir des deux côtés (l’un avec des dents, l’autre lisse) et un angle très acéré lui permettant de pénétrer dans n’importe quel aliment puis de le couper.

Son montant en acier inoxydable a été spécialement étudié pour accueillir des aliments de toutes tailles. Ainsi, carottes, concombres, baguettes, tomates, saucisses sèches… Tout pourra être coupé par le Coupe-Tout (sous réserve de la taille des aliment) ! Et même les viandes que ce soient les rôtis ou le filet mignon grâce au fil de la lame qui permet de les trancher sans les déchirer. Un véritable couteau de cuisine professionnel !

Hygiénique et esthétique

Avec son revêtement alimentaire en époxy, la lame offre une parfaite hygiène. Il est d’ailleurs tout à fait possible de passer d’un aliment à un autre en conservant toute leur saveur. La lame du Coupe-Tout est par ailleurs facilement démontable. Elle est donc très facile à nettoyer et à réaffûter. Et bien au-delà de son aspect pratique, le Coupe-Tout sera du plus bel effet dans la cuisine avec son socle en hêtre et son montant en acier noir ou bordeaux.

Intégralement fabriqué au cœur de la manufacture thiernoise, le Coupe-Tout Claude Dozorme reflète incontestablement l’innovation et le savoir-faire coutelier empreint de la tradition modernisée. Un outil 100% made In France à laisser bien en évidence sur son plan de travail !

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Crédit photo : Denis Grudet

Ah le fromage !
Rien qu’en France, on n’en dénombre pas moins de 1 000 variétés, de toutes tailles, de toutes formes, au lait de vache, de brebis, de chèvre, à pâte molle, pressée, cuite, non cuite, persillée… Il y en a tellement qu’on n’aurait pas assez de place ici pour toutes les citer ! 😊
Et côté consommation, les français ne sont pas en reste avec 26kg par an et par habitant ! Servi traditionnellement sur le plateau en fin de repas, il s’apprécie de plus en plus à l’apéritif.

Mais attention, sa découpe et son service sont régis par des codes bien précis. Il est, en effet, des plus importants d’utiliser les couteaux appropriés en fonction des types de pâte afin de ne pas mélanger les arômes des fromages entre eux. Il ne s’agit pas de faire n’importe quoi.
C’est pourquoi, fidèle à la sauvegarde et la pérennité de l’art de vivre à la française, la coutellerie Claude Dozorme a donné naissance à une gamme de produits dédiés à cet emblème national, entièrement manufacturée au sein de ses ateliers à Thiers.

A chaque fromage, un couteau dédié

En collaboration avec le CNIEL, la manufacture a développé des couteaux à fromages pour le service en salle dans les restaurants. La découpe à l’assiette est, en effet, un véritable spectacle en soi qui se fait dans la continuité du service. Elle requiert de faire de belles parts régulières et appétissantes tout en limitant les pertes et le gaspillage alimentaire.

Une pochette en cuir contenant 6 couteaux à fromage signés Dozorme a ainsi vu le jour. Chaque pièce a été étudiée par un MOF fromager pour faire des coupes franches et nettes des fromages en fonction des différentes textures, pâtes ou formes. Elle permet également aux élèves des lycées hôteliers d’appréhender sereinement la découpe des fromages.

Dites « cheese » en XXL !

Tel l’accessoire de mode qui donne du style à n’importe quelle tenue, le grand couteau fromage Dozorme viendra apporter la touche finale à n’importe quel plateau.

Il faut dire qu’avec son format XXL, son manche en bouleau nain et ses platines bleu, blanc, rouge qui rappellent le col des Meilleurs Ouvriers de France, ce dernier-né de la gamme « Made in France » ne passe pas inaperçu et s’affiche fièrement aux côtés des plus beaux fromages.

Insolite, la cuillère à Cancoillotte

Crédit photo : Sabine Alphonsine

Tandis que Paris à sa Tour Eiffel, la Cancoillotte, spécialité fromagère de Franche-Comté a désormais sa cuillère ! Il faut dire qu’avec sa texture filante et coulante, la « Canco » est un mets à part qui se déguste à la cuillère, petite de préférence !

Pour l’apprécier comme il se doit, il lui fallait donc l’ustensile idoine, parfaitement adapté à sa dégustation et son service. Aussitôt sollicitée par l’APC, Association de Promotion de la Cancoillotte, aussitôt créé par la coutellerie Claude Dozorme !
Un ustensile promotionnel des plus utiles !

La manufacture familiale Claude Dozorme n’a de cesse de proposer une coutellerie toujours plus audacieuse, inventive et empreinte des codes de la haute couture ou de la joaillerie.

Aux 4 coins du monde, nombre de prestigieux établissements (La Tour d’Argent à Paris, Hôtel Royal d’Evian les Bains ou Jean-Georges à New-York pour ne citer qu’eux) n’hésitent pas à habiller leurs tables de couteaux griffés de la célèbre marque à la tête de loup.

C’est pour cette nouvelle clientèle, dont le luxe est une réalité quotidienne, que la manufacture a imaginé un tout nouveau couteau baptisé « L’Ame Luxe ».

Une nouvelle création signée Thomas Bastide

Pour cette dernière création, la coutellerie Claude Dozorme s’est rapprochée une fois de plus de Thomas Bastide, designer de renom. Après avoir réinterprété par deux fois déjà Le Thiers®, Thomas Bastide récidive avec une déclinaison du modèle Shadow.

Couteau atypique, le Shadow offre 2 manches asymétriques en Bakélite. Pour cette nouvelle version, il a souhaité substituer une des côtes du manche par une pièce beaucoup plus fine et luxueuse. Habitué à travailler le cristal, Thomas Bastide a donc eu l’idée d’ajouter une pièce de métal taillée comme un diamant à facettes. Pour cela, il s’est inspiré d’une taille existante dans le cristal des lapidaires : la taille diamant pierreries qu’il a appliqué à l’une des côtes en nickel apposée sur ce nouveau couteau Le Thiers®.

Le travail réalisé par le designer sur la face du manche est digne d’un travail d’orfèvre. Une véritable déclinaison haute-joaillerie !
Le dos du manche est proposé en bakélite noire ou crème polie mat ou brillant selon les désirs du client.

Sommeliers Le Thiers

Clos Laguiole

L’Ame Luxe, dernier-né de la gamme de couteaux Claude Dozorme, a été lancé lors du dernier salon Maison & Objet. Une déclinaison luxueuse pour les fameux Clos Laguiole et sommelier Le Thiers® a également été présentée en avant-première à cette occasion.

Alors que la Maison Dozorme part à l’assaut du marché chinois, sa gérante Claudine Dozorme a décidé de s’entourer d’experts pour accélérer sa démarche commerciale. À ses côtés, Rui Ytournel, une pétillante jeune femme d’origine chinoise installée en Auvergne depuis 2004.

« Je suis arrivée en France en 2004 pour faire mes études. J’ai ensuite travaillé dans une forge et ainsi appris le travail de la matière. », explique Rui. Commerciale export pendant 5 ans, elle décide en 2017 de créer sa société pour accompagner les entreprises du territoire auvergnat dans leurs projets de développement à l’export.

S’ouvrir à l’international pour développer de nouveaux marchés

« J’ai rencontré Claudine Dozorme lors d’un repas de famille car je suis la voisine de ses parents. Mon beau-père est lui aussi coutelier près de Thiers. Elle m’a alors invitée à visiter son usine et j’ai trouvé ses produits très réussis. », se souvient Rui. Les deux femmes échangent, la complicité s’installe… Rui accompagne Claudine sur des salons tels que Maison & Objet à Paris et Ambiente à Franckfort. Ensemble, elles partent ensuite une semaine en Chine pour aller à la rencontre de prospects, s’imprégner de la culture, des us et coutumes et ainsi identifier les possibilités d’exploitation commerciale.

Aujourd’hui, Rui développe des dispositifs liés à l’export et organise les prises de contacts sur le terrain. « En début d’année, j’ai créé un compte Wechat pour la marque Claude Dozorme. C’est une application utilisée par quasiment toutes les entreprises ainsi qu’une grande majorité de Chinois. Là-bas, on échange nos comptes Wechat plus facilement que nos cartes de visite. »

Exporter l’art de vivre à la française : entre challenges et opportunités

Qu’on se le dise, commercialiser des couteaux dans un pays où l’on mange avec des baguettes est un sacré challenge. Mais la marque peut se reposer sur le made in France qui a toujours le vent en poupe, comme l’explique Rui : « La France possède une bonne image auprès du public chinois qui assimile le fabriqué en France aux grandes marques de luxe et autres produits haut de gamme. Notre cible : les professionnels et hôtels-restaurants 5 étoiles. Des particuliers aussi commencent à s’intéresser aux arts de la table et achètent de plus en plus de sommeliers, sabres à champagne. »

Autre atout et pas des moindres : la Manufacture Claude Dozorme est capable de fabriquer des pièces uniques, personnalisées et sur-mesure et ce, en petites séries. « C’est ce qui plaît aux Chinois. », confie Rui avant de poursuivre : « Les Chinois sont également très sensibles au design. C’est un argument de vente très fort qui permet à la marque de se positionner plus facilement sur le marché. »

Couteau à fromage bleu blanc rouge

L’une des plus grandes fiertés de la coutellerie Claude Dozorme est de maintenir l’intégralité de sa production en France. Toutes les étapes de fabrication sont en effet entièrement manufacturées au sein de la coutellerie thiernoise, depuis la découpe de l’acier au montage des couteaux via l’émouture, le polissage et l’affilage.
Un savoir-faire d’excellence exercé depuis plus de 100 ans !

Pour valoriser auprès du plus grand nombre cette production 100% française, la manufacture familiale a imaginé des nouvelles gammes de couteaux de poche, de cuisine ou de sommeliers arborant ostensiblement les couleurs de la France ou bien faisant allusion au patrimoine culturel français.

Clos Laguiole bleu blanc rouge

Ainsi certains produits de la coutellerie familiale se parent d’un liseret bleu blanc rouge sur leurs manches qui rappelle également le col des Meilleurs Ouvriers de France. C’est le cas pour le sommelier Clos Laguiole, ainsi que le tout nouveau grand couteau à fromage, tous deux habillés d’un manche en bouleau nain.

Quant à la collection de Liners Le Thiers® baptisée Made in France, elle n’est pas sans rappeler la célèbre Tour Eiffel ou les colombages des maisons médiévales typiques de la ville de Thiers, avec ses croisillons apposés sur un plexiglas de couleur.
Décliné en 4 coloris (noir, bleu, blanc et rouge), ce couteau aux lignes acérées est présenté sur une carte spécifique mettant en valeur le patrimoine culturel français.

De beaux clins d’œil à l’art de vivre à la française !

Rendez-vous sur notre boutique en ligne, La Grande Coutellerie pour y retrouver de + amples infos sur le Clos Laguiole et sur la collection Le Thiers® Made in France !

Nous sommes en plein XIX^e siècle et la coutellerie thiernoise bat son plein. A cette époque, l’activité coutelière occupe en effet 25 000 personnes. Dans la vallée, les usines battent le fer et les rouets aiguisent les lames. En ville, on assemble, polit, commerce, répare… Thiers et ses environs vit et respire couteaux à longueur de journée. En ce temps-là, l’une des spécificités de la coutellerie thiernoise réside dans la fabrication de couteaux régionaux dont le plus renommé est le Laguiole (du nom d’un village de l’Aveyron).

Pourtant, rien ne prédestinait la cité auvergnate à cette spécialisation. Il n’y a sur place ni mines de fer ou d’acier, ni carrières de grès pour meules. Mais il y a la Durolle, rivière torrentueuse dont la force hydraulique va fournir l’énergie nécessaire aux moulins et usines des couteliers. Sans oublier la formidable obstination et la motivation d’une population occupant un territoire difficile et escarpé. D’ailleurs, dès le XVII^e siècle, les couteaux fabriqués à Thiers s’exportent des ports de Bordeaux et Nantes, via l’Espagne et l’Italie, jusqu’au Levant. Mais c’est véritablement au XIX^e siècle que la coutellerie va connaître un essor phénoménal.

Installés au bord de la Durolle, dans ce qu’on nomme désormais la « Vallée des Usines » également appelée « le Creux de l’Enfer », les ateliers et les rouets (nom désignant les moulins à aiguiser les lames) profitent pleinement de l’énergie fournie par la rivière pour produire et fournir massivement les quincailliers grossistes de France et de Navarre. Et ce, grâce à une organisation du travail performante, basée sur la parcellisation : le travail est éclaté entre une multitude d’ateliers qui n’effectue qu’une étape de la fabrication. Il y a donc autant de métiers que d’étapes de fabrication d’un couteau. Il s’agit du travail à domicile régi par une convention collective spécifique

C’est donc ici, au cœur d’un de ces rouets installés le long de la Durolle, qu’un certain Blaise Dozorme démarre son activité professionnelle en tant qu’émouleur. Surnommé « le loup » par ses pairs, il y fait ses armes et acquiert un savoir-faire inestimable dans le traitement de l’acier et l’émouture. Tirant parti de cette expertise acquise au fil du temps, il décide d’installer un petit atelier de coutellerie dans sa maison. Nous sommes alors en 1902, la coutellerie Dozorme vient de voir le jour…

« Au creux de l’enfer, un des rouets où Blaise Dozorme appris le métier d’émouleur » Photo d’archive Manufacture Dozorme

La mémoire locale garde d’ailleurs le souvenir de ces « ventres jaunes », ces centaines d’émouleurs (qui donnent leur tranchant aux lames) couchés côte à côte sur le ventre au-dessus des meules avec leurs chiens allongés sur les jambes pour les réchauffer. Cette position propre à l’activité coutelière française leur permettait d’appuyer la lame sur la meule en grés afin de lui donner son premier tranchant. Une position loin d’être confortable mais certainement la plus stable pour effectuer cette étape cruciale dans la fabrication d’un couteau. Il faut rappeler que l’émouleur à un rôle primordial et son travail est certainement le plus prestigieux dans la chaîne de fabrication d’un couteau. En effet, cette étape qui consiste à meuler la lame pour l’affiner déterminera la longévité et la qualité du tranchant de la future lame, la qualité de sa coupe et la possibilité de réaffuter le couteau à plusieurs reprises après son utilisation !

Aujourd’hui, « l’émouture » se pratique toujours avec grand soin mais est accomplie en position verticale, posture beaucoup plus confortable ou numériquement avec du matériel de haute précision.

La manufacture Claude Dozorme a totalement intégré cette étape cruciale en se dotant d’une machine à émoudre de dernière génération ultra performante munie de capteurs numériques qui mesurent l’usure de la meule et la repositionnent afin d’obtenir un meulage excessivement précis et constant sur toutes les lames Claude Dozorme. C’est entre autres pour cette raison que les couteaux de poche, de table ou de cuisine fabriqués par la manufacture familiale offre une parfaite qualité de coupe.

Photo : L’émouture des couteaux Claude Dozorme de nos jours

Parce que l’ouverture d’une bouteille nécessite de bons outils parfaitement adaptés, la manufacture familiale Dozorme propose des sommeliers de très haute précision permettant une excellente prise en main. Appréciés des connaisseurs, les sommeliers Dozorme sont réalisés en étroite collaboration avec des professionnels, qu’ils soient cavistes, œnologues ou sommeliers.

Petit frère du Clos Laguiole le sommelier Le Thiers® qui reprend, comme son l’indique, la célèbre forme de ce couteau fruit de la démarche collective de toute une profession, est le dernier-né de la coutellerie thiernoise.

Entièrement fabriqué à la main dans les ateliers de la coutellerie, le sommelier Le Thiers® possède une mèche conique spécialement conçue dans un acier haut de gamme garantissant une ouverture parfaite des bouteilles (même les plus vieilles) sans en abîmer ni briser les bouchons. Son crapaud à double levier, quant à lui, permet une extraction des bouchons en 2 temps. De quoi éviter les bouchons cassés ou qui s’effritent dans le vin. Et pour parfaire le service, le sommelier Le Thiers® est muni d’un coupe capsule crantée qui offre une découpe propre et aisée de tous les opercules des bouteilles de vin.

Déclinés en 6 modèles, les manches des sommeliers Le Thiers® de Dozorme se parent de bois ou de cornes : bouleau nain, genévrier, ébène, cerf, bélier ou corne claire. Parce que chaque nectar mérite le meilleur !

Lancement en exclusivité lors du dernier salon Maison & Objet de Paris.

Que serait les fêtes de fin d’année sans Champagne, symbole éclatant de l’élégance et du raffinement à la française ? Apprécié dans le monde entier pour la légèreté de ses bulles, sa finesse et son goût unique, il est porteur de l’image et de l’attrait de la France. Son service comme l’ouverture de sa bouteille, a son propre rituel. Le plus emblématique demeure le sabrage de son col.

Pour perpétuer cette tradition vieille de plusieurs siècles, la coutellerie Claude Dozorme réédite de grandes collections de sabres à champagne, entièrement fabriquées en France, au sein de la manufacture familiale thiernoise.

Gamme SABRE DESIGN

Résolument modernes et à la ligne contemporaine, les sabres à Champagne DESIGN Claude Dozorme se déclinent en 3 versions :

Lame noire, garde noire et manche noir – Gamme Sabre Design

Garde alu, manche chêne – Gamme Sabre Design

Garde bronze, manche Palissandre – Gamme Sabre Design

Gamme SABRE PRESTIGE

Raffinement extrême pour la gamme de sabres à Champagne PRESTIGE Claude Dozorme proposée en 6 modèles aux noms emblématiques :

Kellerman : manche marqueterie et garde dorée à l’or fin – Gamme Sabre Prestige

Ney : manche rouge et garde dorée à l’or fin – Gamme Sabre Prestige

Napoléon : manche olivier et garde dorée à l’or fin – Gamme Sabre Prestige

Autres modèles existants :

• Lafayette : manche lamina vert et garde dorée à l’or fin
• Mac Mahon : manche noir et garde argentée

On aime : Les dragonnes en passementerie qui rappellent la façon dont les cavaliers de la garde napoléonienne tenaient leurs armes au poignet.

Connaissez-vous l’origine de cette tradition ?

La pratique du sabrage de champagne remonterait au XIX^e siècle et aux hussards de la garde napoléonienne. En effet, ces valeureux guerriers avaient pour coutume de rendre un vibrant hommage à la victoire, à la vigueur, à la virilité et aux dames en… faisant sauter le bouchon du Champagne d’un simple revers de lame. Ils « sabraient » le Champagne. Un geste spectaculaire et magistral expliqué par Claudine et Claude Dozorme.

Quelque peu tombé en désuétude ces dernières années, le sabrage demeure néanmoins un véritable symbole de l’art de vivre à la française, à la fois chic et intemporel et évoque invariablement les plus belles fêtes solennelles.

Alors pourquoi ne pas vous laissez tenter par ce magnifique objet original et prestigieux qui accompagnera avec élégance tous vos événements ?

Pour + de renseignements, rendez-vous du côté de la boutique en ligne « Sabre à champagne ».